Andéol F.

Quand j’ai vu ces courts métrages, j’y ai vu un vrai travail professionnel ! Ils reflètent le travail de Levon Minasian qui est impressionnant. Quand une scène est facile il la transforme en vrai casse-tête ! Dans L’île sandwich, Levon a réussi à faire un vrai jeu de mot avec une île qui porte ce nom et le nom du camion qui vend des sandwichs.

Dans Bravo virtuose, avec peu de budgets Levon Minasian a réussi à mettre en œuvre ce qu’il voulait faire en faisant des scènes simples mais efficaces !

Tous les courts métrages qu’on a vus m’ont beaucoup plu et je ne saurais lequel choisir ! Ces courts métrages restent les meilleurs que j’ai vus !

Personnellement, j’adore cette idée, d’écrire un scénario et ensuite de le filmer. Cela développe l’imagination et permet d’apprendre comment filmer, comment trouver le bon angle et de voir ce qui se passe derrière la camera. Cela permet de voir si on aime bien  filmer ou créer des scénarios. C’est une énorme chance de créer quelque chose avec un vrai réalisateur, qui a crée beaucoup de courts métrages et longs métrages. J’adore cette idée !

Avant tout, il faut que j’avoue que mon court-métrage favori sur les trois est le piano. Je le trouve émouvant, intéressant et humoristique à la fois. Il a tout pour plaire. Les deux autres courts-métrages ne m’attirent moins car j’ai un peu de mal avec la poésie cinématographique. En tout cas, j’aime beaucoup le fait qu’ils soient tous les trois liés par une seule même patrie : l’Arménie. J’ai adoré l’anecdote racontée en classe sur la bougie qui n’était pas désirée sur un plan où l’on voyait  les immeubles détruits et la population en panique, je trouve qu’au final, c’est beaucoup mieux avec que sans la bougie ! Pour conclure, je trouve que cette suite de trois courts-métrages qui montrent très bien les très nombreux et grands dégâts que ce séisme à causé est remarquable.

Moi, j’ai beaucoup aimée le film « Bravo Virtuose », la musique m’a beaucoup plu et l’histoire nous emmène vraiment. « Luxa Eterna » est aussi touchant c’est un court métrage qui fait passer un message, qui est  plus profond q’un film de divertissement. Mais contrairement à beaucoup de mes camarades j’ai moins aimé « Le Piano » et « L’île Sandwich », je ne saurais pas vraiment dire pourquoi. 

Tout au long de l’intervention du réalisateur j’ai plus appris sur le métier, ou la façon de faire un film, que la réelle histoire des films. Quand le réalisateur a décortiqué les scènes, je ne me suis pas vraiment intéressée au storyboard, mais plus au scénario et à la mise en scène, elles, qui elles m’ont plus intéressées. Les photos de tournage étaient très jolies et décrivaient bien le contexte et l’ambiance. 

J’ai beaucoup aimé cette rencontre. 

 Salomée 

Nous avons regardé plusieurs cours métrages sur le séisme qui a frappé l’Arménie en 1988. C’était très intéressant et ça nous a permis de, tout à d’abord dans le 1er volet de ce triptyque de cours métrages, ressentir la douleur des familles après ce drame. L’atmosphère y est triste et émouvante.

Puis dans l’autre volet, découvrir le pays tentant de se relever après cette catastrophe. 

Mais « Bravo Virtuose » est tout de même mon film préféré du réalisateur Lévon Minasian parmi ceux qu’on a pu visionner en cours. Il s’agit d’un long métrage contrairement aux autres. 

Dans ce film j’ai bien aimé le personnage de la fille, qu’on apprend à connaître petit à petit. Elle se détache progressivement de l’image de la fille rebelle méchante égocentrique et indifférente qui ressort au début du film. 

Mon seul reproche au film est qu’il y manque un peu de dynamisme, il y a trop de moments sans véritables action. 

Quant à l’atelier avec le réalisateur, c’était très intéressant. Ça nous a permis de mieux comprendre l’envers du décor, le travail qui se cache derrière chaque scène etc... 

Et ses explications sur les scénarios le tournage et le montage étaient très claires et précises. 

Anaïs B.