• Ressenti sur la venue du réalisateur

    1. La venue du réalisateur

    J’ai beaucoup apprécié la venue du réalisateur qui a permis d’éclaircir de nombreuses questions que je me posais. J’ai été particulièrement intéressé par les détails de la vie commerciale d’un film et tout ce qui relevait de sa durée de vie. Par ailleurs, j’ai été étonné de la durée de tournage nécessaire à la réalisation de quelques minutes de film. Le réalisateur a également abordé des questions plus concrètes. Il nous a notamment fait part de la subjectivité lié au choix des acteurs. Ainsi, j’ai appris que, pour certains rôles, un très bon acteur pouvait ne pas plaire au réalisateur car il trouvait que celui -ci ne correspondait pas au rôle. Par ailleurs, les nombreux métiers liés au tournage ou à la post production m’ont été expliqués. Celui qui m’a le plus marqué est le script. Son rôle est de vérifier que le texte est bien joué dans son intégralité par les acteurs en lisant le scénario et en écoutant les acteurs en continu.

     

    1. Les films vus en classe

    Avant la venue du réalisateur nous avons visionné de nombreux films qu’il a créés. Je les ai dans la grande majorité appréciée.

    Le film que j’ai préféré est le court-métrage « le Piano ».  J’ai beaucoup aimé le ton humoristique et absurde du scénario, en particulier le gag au sujet du piano autour duquel le court-métrage est construit. J’ai aussi été ému par l’histoire de Loussiné. Au delas de son histoire le court métrage saisit la vie d’un quartier à un instant donné : la solidarité des habitants, les moments joyeux comme ceux difficiles et leur capacité à se débrouiller. Enfin, j’ai appréciés voir le reflet de la société, des paysages et de la culture Arménienne en quelques dizaines de minutes. La fin ouverte du court-métrage me laisse un peu sur ma faim puisqu’on ne connait pas le devenir de Loussiné.

    J’ai moins apprécié le poème cinématographique « lux aeterna » que j’ai trouvé un peu ennuyeux. Le manque de dialogue et de couleur m’a aussi un peu dérouté.

     

    1. Conclusion

    En conclusion, je garderai un très bon souvenir de ce projet : des films vus comme de la venue du réalisateur.

    Hadrien


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  • Que ce soit pour le piano, l’homme de L’île sandwich et bravo virtuose je trouve que c’est un succès total. Je les ai tous aimés. Ils sont captivant, on arrive à rentrer dans chaque histoire et de s’y croire dedans.

    On va s’intéresser à bravo virtuose, son scénario est très bien écrit, mais surtout quand on entre vraiment dedans on se rend compte de plein de mini détails comme par exemple, il y a : les personnages maquiller dans les trois cours et long-métrage, un rapport avec l’Arménie dans les deux court-métrages, des chutes à la fin à chaque fois...


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  • Mon ressenti

     

    J’ai beaucoup aimé le film (Bravo Virtuose) et les deux courts métrages (L’Homme de L’Île Sandwich et Le Piano), je les ai tous trouvés très réussis.

     

    Dans Bravo Virtuose, les acteurs correspondent merveilleusement bien à leurs rôles. J’ai trouvé le personnage de Lara très intéressant, j’aimais tout particulièrement son style, son caractère et l’atmosphère qu’elle dégageait. Mais je me demande comment aurait été l’autre actrice qui correspondait encore mieux à ce rôle. En revanche, il y a un seul et unique tout petit bémol au niveau d’une ou deux transitions.

     

    J’ai trouvé les deux heures passées avec le réalisateur très instructives. J’ai pu apprendre ce qu’était le vrai monde du cinéma, c’est surtout un art d’organisation, un art compliqué et exigeant. Le réalisateur a pu nous expliquer ce qu’est un story-board. Le story-board est une sorte de feuille séparée en deux, du haut vers le bas, sur la partie de droite, le scénario est mis sous forme de schéma ou de dessins, et, sur la partie de gauche, il est sous forme de texte très détaillé expliquant en détail les gestes, le caractère et la tenue des acteurs.


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    1. Que pensez-vous des films ?

    Le piano est un film que j’ai aimé. Il raconte l’histoire d’une adolescente muette et orpheline élevée par son grand-père dans une ville d’Arménie J’ai été touché par cette adolescente qui vit dans des conditions modestes et qui s’entraine avec une musique de fond en faisant semblant de jouer avec ses doigts sur une table imitant les touches d’un piano jusqu’au jour où un piano à queue est livré et installé devant chez eux parce qu’il ne rentre pas dans la maison du grand-père. D’un côté, il y a une toute petite maison modeste et un grand piano luxueux. C’est une sensation étrange de s’entraîner dans une ville qui a été dévastée par un tremblement de terre et d’avoir comme public ses voisins.

    Le passage où le grand-père dort dehors pour surveiller le piano est touchant.

    Il a eu raison de le faire pour le protéger des hommes qui voulaient le détruire pour récupérer la ferraille.

    Le passage où l’adolescente joue avec le bruit de la chaine à chaque fois qu’elle appuie sur la pédale du piano, ce n’est pas jouer dans de bonnes conditions mais c’est préférable plutôt que de se le faire voler.

    J’ai aimé le passage lorsque la voisine jette de sa fenêtre un saut d’eau sur ses voisins mais surtout sur la dame en rouge de la mairie lorsqu’elle demande à la dame qui est à sa fenêtre de se taire pour écoute la jeune fille jouer toujours le même morceau. La dame en rouge est un peu sans gêne, elle ne se préoccupe pas du bruit que cela peut engendrait.

    Je n’ai pas aimé quand des adolescents sont venus couper les cordes du piano sous prétexte qu’ils en avaient marre de l’entendre jouer toute la journée. Ce n’était pas intelligent mais j’ai apprécié quand un petit garçon a voulu les en empêcher.

    Le passage de la télévision est drôle également, parce que le voisin se fait livrer un grand écran qui ne rentre pas chez lui et qu’il ne veut pas partager dehors mais qui finit par accepter pour regarder avec ses voisins le concours en dépit.

    La passion de l’adolescente l’emporte et c’est grâce à sa persévérance de jouer qu’elle se présente à un concours.

    Il y a un amour fusionnel entre le grand-père et sa petite fille. Lui qui a été un grand musicien, fait tout pour transmettre sa passion à sa petite fille.

     

    L’homme de l’île Sandwich

    C’est un enfant qui ne connaît pas son père et qui fait tout pour le retrouver. C’est triste quand il parle de son rêve aux élèves de sa classe, parce qu’il se fait moquer de lui lors d’un exposé. Son rêve se brise parce qu’il s’imagine que son père est au bout du monde sur l’île Sandwich dans l’hémisphère Sud de l’océan Atlantique alors qu’en réalité, il est à quelques kilomètres de chez lui sur une presqu’île où il vend des sandwichs. C’est touchant parce que c’est l’enfant qui fait la démarche de retrouver son père et il finit par y arriver. Il y a un mystère parce que l’on ne sait ni pourquoi son père est parti et ni pourquoi il ne vient pas le voir. Par contre, c’est très émouvant de voir leur amour fusionnel lors de leurs retrouvailles alors qu’ils ne se connaissent pas.

     

    Bravo Virtuose

    C’est un homme passionné par la clarinette et qui joue dans un orchestre. Il trouve un téléphone portable par terre et ça perturbe sa vie.

    Il y a un mystère parce que l’on ne sait pas qui envoie les messages ainsi que l’argent et les révolvers mais ça montre qu’il existe un système de la mafia.

    Il a pour consigne de tuer le responsable des gardes du corps mais sans que ce ne soit de sa faute, la personne finit par être tuée écrasée par un camion

     

    J’ai préféré Bravo Virtuose parce que c’est le film qui était le plus long avec plus d’actions et de suspenses.

     

    1. Résumé sur la venue du réalisateur

     

    J’ai appris que ce n’était pas évident de faire un film parce que cela a un coût financier important. Il y a plusieurs caméras : celles posés sur un rail ou sur une épaule avec un système pour la stabiliser.

    L’idéal est de dessiner sur papier ou sur ordinateur avec un logiciel pour voir où positionner les acteurs avant de commencer le film

    Le réalisateur s’aide du scénario pour savoir si la scène doit se jouer en intérieur et l’information lui est notée en gras.

    Il y a plusieurs intervenants : le réalisateur, les caméramans, les acteurs entre autres.

     

    L’idéal est de voir un film dans une salle de cinéma sur un grand écran.

    J’ai trouvé la venue du réalisateur intéressante, c’était plus concret et ça change d’un cours habituel, c’était plus vivant.


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  • Je trouve que cette expérience est très intéressante car elle change des choses que l’on peut faire d’habitude. Les films que l’on a vus sont tous sur le même thème, le même intérêt et apportent le même message : la musique sauve le monde, notamment en Arménie, le pays d’origine du réalisateur. Lorsqu’il est venu, il nous a appris beaucoup de termes cinématographiques, il nous a montré les étapes à réaliser avant de faire un film…Il nous a également expliqué ce qu’était un storyboard et un scénario et comment en faire un. C’était super !


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